De quoi est-il question ?

À l’issue de la délibération de la commission de surendettement, des mesures sont mises en place pour trouver des solutions pour les entreprises concernées. En effet, après étude du dossier de surendettement par un organisme administratif, si celui est recevable il bénéficiera du plan de redressement ou d’autres mesures possibles.
Ce dernier consiste à proposer des solutions à l’amiable aux créanciers de l’entreprise ou de la personne endettée. Il ne s’agit pas d’un dispositif seulement limité aux entreprises puisque toute personne endettée peut avoir recours à cette procédure gratuite.
Selon les cas qui se présentent, le plan peut être représenté par un rééchelonnement des échéances, la suppression du taux d’intérêt ou la remise d’une dette, lorsque toutes les conditions sont remplies telle que la possession d’un bien immobilier ou la possibilité de rembourser ses dettes.

L’élaboration du plan conventionnel de redressement ?

Avant de passer à la négociation avec les créanciers, la commission va estimer la somme minimale qui représente le « budget de vie courante » de la personne endettée. C’est un montant minimum visant à l’aider au financement de ses besoins les plus inévitables. L’établissement de ce chiffre dépend d’un barème préalablement défini ou encore des véritables dépenses de la personne endettée.
Pour ce qui est de ces dépenses réelles, les frais en tout genre (scolarité, santé, loyer, transport, etc.) sont pris en considération. Quant au barème, cela dépend des dépenses supplémentaires comme le chauffage ou les frais engagés pour la voiture, l’hygiène, ect. Pour ce qui est des ressources à prendre en compte dans le total de la somme minimale à laisser, on trouve les salaires, les pensions alimentaires ou celles de veuvage.

Des bureaux fermés en coworking : pour plus de confidentialité et de concentration

Les open-spaces sont généralement bruyants, ce qui risque de réduire la productivité et la concentration. Pour éviter cela, les entreprises sont nombreuses à se tourner vers les bureaux fermés à Marseille proposés par les centres de coworking. En effet ils permettent de :

• Optimiser la concentration et la productivité au travail : dans le calme, votre équipe peut travailler avec sérénité et sans interruption. Elle peut finir à temps ses tâches.
• Assurer la sécurité des données sensibles de l’entreprise : l’espace de travail privatif n’est accessible qu’aux personnes disposant d’une clé ou d’un badge.
• Assurer la confidentialité du travail : les discussions avec vos clients, les échanges avec votre équipe sur un projet, etc. se font dans la confidentialité de votre bureau privatif.
• Personnaliser l’aménagement du bureau : vous pouvez aménager la disposition du bureau selon les besoins de votre équipe.

Des bureaux fermés pour jouir de tous les avantages du coworking à Marseille

Un bureau privatif prêt à l’emploi

En coworking, le coût de la location de bureau fermé donne droit à un espace de travail privatif déjà équipé de tout le nécessaire pour travailler. Cela concerne la connexion internet, le mobilier de bureau, l’électricité, l’eau, etc.

Un espace privatif avec des services inclus

Le coût de location des bureaux fermés en coworking permet également d’accéder à un large panel de services et de prestations. Votre équipe peut notamment profiter des espaces communs comme le coin cuisine, le coin détente, etc. Votre entreprise bénéficie des services de ménage, d’accueil, etc.

Une location qui facilite le réseautage

Puisque votre équipe peut occuper les espaces communs, elle peut se lier d’amitié avec d’autres employés d’entreprises locataires au sein du centre de coworking à Paris. Ces échanges favorisent le réseautage et peuvent profiter à l’évolution de votre entreprise.

Un contrat de location à prix doux et flexible

Les coûts de l’électricité, l’eau, la connexion internet, l’accueil, etc. sont mutualisés par les professionnels et entreprises locataires du centre de coworking à Marseille. Résultat, le coût de la location d’un bureau fermé à Marseille, avec services inclus, revient moins cher.

Mieux encore, votre entreprise peut louer l’espace privatif selon la durée qui vous convient. Vous vous affranchissez ainsi du contrat rigide du bail commercial. Vous pouvez aussi augmenter ou réduire le nombre ou la grandeur du bureau fermé que vous louez selon l’évolution de votre activité.

En somme, ce contrat de location, qui s’apparente à une prestation de service, permet aux entreprises de mieux gérer leur budget pour ne payer que ce dont elles ont besoin. Il n’est donc pas étonnant que le bureau fermé en coworking soit plébiscité par les freelances, les entrepreneurs indépendants, les start-ups, les PME et les entreprises en transition.

Expert-comptable : obligatoire pour un entrepreneur

La comptabilité est un domaine qui intéresse tous les entrepreneurs. L’expert-comptable est le spécialiste qui connaît les chiffres et qui aide l’entrepreneur dans la gestion de ses activités. Il a comme principales missions la réalisation du bilan et du compte des résultats et l’assistance juridique. En effet, au moment de la création d’entreprise, il peut vous conseiller sur le statut juridique le plus adapté pour votre activité par exemple.

Pour la tenue de la comptabilité de votre entreprise, il faut donc qu’il y ait un expert-comptable. Sachez également que la saisie des opérations comptables est une tâche importante pour que votre entreprise soit en règle vis-à-vis de la loi et du fisc.

Une solution sur mesure de recours à un expert-comptable

Il vous est possible de rechercher sur le web un expert-comptable à Paris. Vous pourrez lui confier vos opérations ou quelques-unes de celles-ci. Ce dernier peut vous proposer un tarif forfaitaire mensuel ou annuel aussi bien qu’un tarif pour l’intégralité de l’écriture comptable. Vous pouvez encore payer à l’heure ou à la journée l’expert-comptable choisi pour une prestation comptable particulière ou une opération comptable complexe.

Le moment propice pour appeler un expert-comptable

Vous pouvez faire appel à un expert-comptable avant même de vous lancer dans votre activité. Ce professionnel va se déplacer pour analyser votre comptabilité. Il peut également vous accompagner dans certaines démarches administratives pour la création de votre entreprise comme l’immatriculation de celle-ci. Regval est votre allié si vous êtes en quête d’un cabinet connu dans le Val-d’Oise, région Île-de-France ou Paris afin de bénéficier d’une expertise comptable et d’un accompagnement personnalisé.

Logiciel de gestion de la trésorerie : à quoi ça sert ?

Servez-vous d’un logiciel en ligne pour synchroniser vos comptes bancaires : voilà un exemple d’innovation technologique profitable aux entreprises. La gestion comptable et financière est en général assurée par l’expert-comptable. Malheureusement, il y a des entreprises qui n’ont pas la possibilité de louer les services d’un comptable. Il y en a aussi qui disposent d’un expert-comptable, mais qui peinent à gérer les finances quand l’expert-comptable est surchargé de travail. L’informatique et la technologie sont là pour leur donner un coup de main.

Avec un logiciel de gestion de trésorerie, un professionnel peut effectuer la gestion comptable et financière sans l’aide d’un expert-comptable. Ce genre de logiciel est surtout destiné aux TPE, aux PME et aux start-up. Il s’agit d’un outil qui permet d’obtenir des données (détails sur les dépenses par catégorie, prévisionnel de trésorerie, etc.) fiables et pertinentes automatiquement.

Le logiciel de gestion des finances permet de gagner du temps et d’éviter les erreurs de calcul ou de saisie. Un autre avantage avec ce genre de logiciel, c’est la synchronisation des comptes bancaires. Vous aurez un visuel sur tous vos comptes sur un seul outil. Cela vous permet de visualiser les comptes, d’éviter les découverts, etc.

Comment choisir un logiciel de gestion de la trésorerie ?

Il existe plusieurs logiciels destinés à la gestion des finances sur le marché. À noter toutefois que ce ne sont pas tous les logiciels qui peuvent répondre à vos besoins. Il faut donc choisir celui à utiliser, celui dans lequel vous allez investir. Pour ce faire, définissez tout d’abord votre niveau de compétence en gestion comptable et financière. Définissez aussi vos besoins professionnels.

Choisissez ensuite le logiciel de gestion de la trésorerie qu’il vous faut en fonction des fonctionnalités qu’il propose. La synchronisation des comptes bancaires sur une seule plateforme fait partie des fonctionnalités importantes. Elle permet de visualiser les comptes en même temps, de vérifier le niveau de trésorerie et d’éviter les découverts, etc.

Pensez aussi à choisir un logiciel de gestion des finances qui propose un essai gratuit sans engagement. Cette offre vous permet de tester le logiciel pendant quelques jours sans avoir à payer quelque chose. Si le logiciel vous convient, commencez l’utilisation payante pour une bonne gestion comptable et financière.

Quelle gratification ?

En-deçà de 2 mois de service en tant que stagiaire dans une entreprise, la gratification reste facultative. En revanche, pour ceux qui ont dépassé les 2 mois, dont 6 mois maximum, ils bénéficient d’une gratification de la part de la société. Celle-ci doit être bien définie dans la convention de stage.

Pour calculer le montant, il faut tenir compte du nombre d’heures de service réalisées par le stagiaire. Cela doit correspondre à 15 % du plafond de la Secu, soit 3,6 euros l’heure. Pour les entreprises, il faut noter que cette gratification est normalement exonérée de charges sociales.

Limite de nombre de stagiaires

Un ou plusieurs stagiaires ne doivent pas assurer tout un service dans une entreprise. Selon la loi du 10 juillet 2014, les sociétés doivent soumettre à des quotas de stagiaires. Ces derniers sont limités à 15 % du nombre de personnel pour les entreprises employant moins de 20 salariés. Pareillement, celles-ci doivent également s’assurer que tous les stagiaires soient encadrés par un tuteur.

En tant que maître de stage, ce dernier peut en former jusqu’à 3 personnes. Il les accompagne dans la réalisation de leur stage et offre son aide dans l’accomplissement des différentes missions que l’entreprise confie à ses stagiaires.

Une convention de stage est différente d’un contrat de travail

Les stagiaires ne bénéficient pas du même statut que les salariés au sein de l’entreprise. Ils sont liés à cette dernière par une sorte de convention de stage. Celle-ci détaille toutes les missions, les objectifs du stage et les mentions obligatoires comme les gratifications, les dates de début et de fin du stage, les avantages et bien d’autres. En outre, la convention définit le régime de protection sociale dont le stagiaire peut bénéficier au cours de son service dans l’entreprise. Elle précise également le système de protection de ce dernier en cas d’accident de travail.

Quels sont les avantages de l’impression sur tissu en marketing ?

Pour présenter votre marque, il n’y a pas de mauvais support d’impression, mais l’impression sur textile a son petit plus. Cette technique garantit une précision de couleur, car l’image projetée sur le tissu est fidèle à celle conçue à l’écran. Cette excellente qualité d’impression garantit la bonne visibilité de votre logo, du nom de votre entreprise et du message que vous souhaitez transmettre.

L’impression sur textile est généralement réalisée sur un tote bag en tissu, sur un T-shirt, sur un tissu d’ameublement et sur un vêtement de travail. Vous pouvez commander vos vêtements personnalisés en petite ou grande quantité, et en fonction de vos objectifs marketing. Ce type d’impression vous aide à retenir facilement l’attention de vos cibles. En tout, l’impression textile professionnelle est à la fois bénéfique pour votre entreprise, pour vos employés et pour vos clients. Ouvrez ce lien pour des informations supplémentaires.

Quels sont les types d’impressions sur textile tendances ?

La sérigraphie textile est la plus ancienne technique d’impression sur tissu, mais elle reste indémodable, notamment grâce à son coût abordable. En plus, si elle est réalisée avec soin et professionnalisme, les impressions ne risquent pas de céder au lavage.

Une autre méthode plus moderne qui offre des résultats encore plus satisfaisants permet d’imprimer directement le motif sur le tissu, au lieu de reproduire les images sur la planche. Il s’agit de l’impression textile numérique, la tendance du moment. Cette technique offre davantage de panels de couleur par rapport à la sérigraphie. Vous pouvez aussi opter pour l’impression textile réalisée à partir d’un procédé de pression thermique. Cette technique est appelée flocage, et l’impression peut être lisse ou en velours.

Les services proposés

Pour trouver la meilleure banque en ligne, vous devrez vous informer sur les prestations proposées par cette dernière comme l’ouverture de compte par exemple.

Il y a aussi les conditions de transfert et les versements que vous pouvez recevoir. Il ne faut pas se limiter à la diversité des services pour choisir votre banque. Il faut insister sur la qualité de ces derniers. Cela est par exemple le cas pour la rapidité des procédures. Cela concerne par exemple les transferts d’argent surtout à l’étranger.

Les taux bancaires et les coûts affiliés

Vous pouvez insister sur une institution qui propose des tarifs bas pour les taux bancaires. Il suffit de vérifier la grille tarifaire imposée par la banque qui vous intéresse. Vous pouvez utiliser un comparateur en ligne si c’est nécessaire. Certaines banques n’exigent pas en outre les coûts affiliés. D’autres appliquent des tarifs relativement faibles surtout pour la gestion de votre compte. Vérifiez également les taxes imposées par la banque.

Les modalités d’épargne

Ici, vous devrez insister sur le pourcentage de rémunération proposé par la banque en ligne de votre choix. Il faudra aussi vous informer sur les conditions de plafonnement des livrets. Cela est aussi valable pour l’assurance-vie. Certaines banques proposent des contrats gratuits pour cette dernière. Vous pouvez aussi comparer les offres d’épargne avec celles proposées par les banques classiques.

Vos besoins

Votre choix de banque doit dépendre de vos besoins personnels. Certaines institutions sont plus avantageuses pour les usages professionnels. Les autres sont tournées un peu plus sur les opérations personnelles. Votre choix ne doit pas se faire avec une intention de faire un crédit. Vous pouvez choisir une banque selon votre âge et votre métier. L’établissement analysera votre profil pendant l’ouverture de votre compte.

La valeur patrimoniale

Avant toute chose, il est nécessaire de savoir faire la différence entre « valeur » et « prix ». La valeur se situe en général dans tout ce qui appartient à l’entreprise. Il pourrait s’agir d’un bien matériel ou d’un bien immatériel par exemple. Les biens matériels sont définis par toutes choses physiques que l’on peut toucher appartenant à une entreprise, c’est-à-dire un objet que l’on ne peut diviser et qui va en quantité. Les constructions, les matériels de service, les véhicules de transport sont des biens matériels. Par contre, les biens immatériels sont l’ensemble du patrimoine que l’on ne peut généralement pas toucher. Tout comme les brevets, les logiciels, les titres, etc. C’est à travers ces biens qu’on définit la valeur d’une société.

La valeur flux financier

Contrairement à la valeur patrimoniale qui se base sur les patrimoines, la valeur flux financier repose sur les flux financiers c’est-à-dire le prix. Elle peut être évaluée à travers le rendement et la rentabilité. À vrai dire, le prix en général d’une entreprise dépend des bénéfices qu’elle pourra apporter dans le futur. Ce sera donc à travers les actions et les revenus du futur de la société que l’on peut déduire ses flux. Ces méthodes d’évaluation lui permettent de se positionner vis-à-vis de ses concurrents. Toutefois, rien n’est sûr durant une telle estimation approximative. Le mieux serait de toujours utiliser plusieurs méthodes pour préciser certains faits. Dans le cas où vous êtes encore novice dans le domaine, il vous serait recommandé dans un premier temps de vous faire accompagner durant l’évaluation. Ce n’est pas un exercice facile, puisque la vie de la société dépend totalement de vous.

Qu’est-ce qu’une annonce légale ?

Pour la définir simplement, l’annonce légale est une publication officielle qui présente des informations ayant un lien avec une entreprise. Peu importe son domaine d’activité, sa taille et ses années d’expérience sur le marché. C’est un passage obligatoire, et ce, plusieurs fois tout au long de sa vie.

On exige notamment des dirigeants de publier une annonce légale pour annoncer le début et la fin de leur activité. C’est également le cas quand il faut changer de dirigeant ou de siège social, etc. Au final, il s’agit d’une mesure à prendre afin d’informer les collaborateurs et les clients d’une entreprise de tout éventuel changement qui peut impacter sur l’identité et les relations entre ces derniers et l’entreprise en question.

Mais une annonce légale est aussi un moyen de vous protéger de tout abus de confiance qui est fait en votre nom par d’anciens salariés ou même par des prestataires. Cela permet de prouver les changements qui ont lieu et de vous décharger de toute responsabilité.

Quel prix pour la publication d’une annonce légale ?

Depuis la mise en place de la loi Pacte, les entreprises connaissent plusieurs changements. C’est le cas notamment des frais de publication d’une annonce légale. On avance en effet depuis quelques mois vers une forfaitisation de ces derniers.

Pour les SARL, EURL, SAS, ou SASU, le dépôt d’une publication de ce genre coûte 82 euros. Les frais de publication légale sont d’environ 85 euros. Et le dépôt d’une marque à l’INPI commence à 225 euros.

Ces tarifs s’appliquent sur toutes les plateformes de publication. Effectivement, il est désormais possible de publier une annonce légale en ligne. Ce qui facilite et accélère les démarches. Visitez le site annonces-legales.fr pour publier votre annonce.

Pourquoi cette forfaitisation ?

Quel est alors l’intérêt de cette forfaitisation ? L’objectif est avant tout de faciliter la réalisation des annonces légales pour les entreprises. C’est plus simple ainsi de gérer les finances et le budget de la société. Mais en plus, c’est une manière de protéger les prestataires et les dirigeants d’entreprise des abus de certains sites de publication. Désormais, le même forfait s’applique partout. Ce qui peut leur permettre aussi de réaliser quelques centaines d’économie, voire des milliers d’euros pendant toute leur vie.

Si auparavant, les frais de publication d’une annonce légale varient d’un département à un autre en France, désormais, ce n’est plus le cas. Ce qui doit permettre de gérer et de faire baisser le prix de publication de ce genre d’annonce.

A savoir que la forfaitisation de la publication des annonces légales est déjà applicable en France, et ce, sur toutes les plateformes certifiées.

Les formes

Il y a d’abord la SARL ou société à responsabilité limitée, une forme juridique permettant à l’entrepreneur de choisir le capital social de votre entreprise. Autrement dit, avec 1 euro symbolique, vous pouvez constituer votre capital social. Le gérant d’une SARL peut être l’un des associés ou une tierce personne qui n’est pas associée. Puis, le statut SA ou société anonyme dans laquelle l’apport fourni pour constituer le capital social va déterminer la participation des acteurs. Par rapport à la cession des parts, c’est probablement le statut le plus souple pour les actionnaires. Ensuite, il y a l’EURL ou entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée qui est presque équivalente d’une SARL sauf sur le nombre des associés, car en EURL, il n’y en a qu’un seul. Il y a aussi la SAS et la SASU.

Création d’une SARL

Pour créer une SARL, vous devez commencer par réunir les actionnaires afin que chacun apporte sa part, sous forme numéraire, en industrie ou en nature. Puis, vous devez choisir un dirigeant et la nomination de celui-ci doit faire l’objet d’un annexe aux statuts de l’entreprise. Cela permet de faire des économies car la modification des statuts pour y inclure le nom du dirigeant peut être très coûteuse. Il y a, bien sûr, la rédaction des statuts eux-mêmes, documents qui vont expliquer en détail l’organisation et les activités de l’entreprise. Ne pas oublier de choisir le type de capital social, variable ou fixe et publier une annonce au JAL.